Enseignements maternel et primaireSalimane Karimou, le pilote des réformes Talon

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Enseignements maternel et primaire

Salimane Karimou, le pilote des réformes Talon

Avec le ministre Salimane Karimou à la tête du sous secteur des Enseignements maternel et primaire, les choses bougent bien, et les résultats parlent. En lui faisant confiance depuis plus de quatre ans au gouvernement, le chef de l’État, ne s’est visiblement pas trompé. Inspecteur de l’Enseignement à la retraite, c’est un fin connaisseur qui pilote, avec succès, la politique éducative de ” la Rupture ” dans son département.

C’est un secret de polichinelle. Les cantines scolaires sont aujourd’hui une réalité au Bénin. Depuis que le pouvoir de la Rupture s’est installé, les écoliers ont droit à au moins un repas chaud par jour, non seulement pour leur bien-être mais aussi pour leur maintien dans le système éducatif. Tellement cette réforme a été bien préparée et mise en œuvre avec minutie que des partenaires au techniques et financiers n’ont pu s’empêcher de l’accompagner. En effet, les cantines scolaires étaient prévues pour couvrir, sur les cinq ans, 51% des écoles publiques béninoises. Mais en deux ans, ce score a été atteint. Autrement dit, 100% de l’objectif fixé au départ est atteint en un temps record. Et désormais, l’ambition, c’est une école, une cantine. D’un milliard de francs Cfa comme montant injecté dans cette réforme sous le régime défunt, le gouvernement de Patrice Talon est passé à 7 milliards dans un premier temps puis à 15 milliards de FCfa actuellement. Lorsqu’on prend le problème du déficit criard d’enseignants noté dans les classes, ce casse-tête longtemps traîné par les gouvernements successifs, a trouvé ou presque trouvé de solution sous le ministre Salimane Karimou grâce à la vision du gouvernement auquel il appartient. Tenez, sur un gap de près de douze mille enseignants, le gouvernement Talon, sous le leadership du chef de l’État, a procédé à des recrutements d’enseignants avec une masse importante d’aspirants déployés sur le terrain. En tout cas, pour ce qui est du sous secteur de la maternelle et du primaire, toutes les classes des écoles autorisées par le gouvernement sur le territoire national sont pourvues de maîtres et maîtresses. La bancarisation des primes est un autre chantier réussi. En effet, avant, le paiement était basé sur du cash main à main. Pour ce faire, des missions étaient déployées sur toute l’étendue du territoire béninois pour payer les ayants droit. C’était tout de même fastidieux comme exercice, avec tous les risques que cela comporte. Aujourd’hui, sous l’onction du ministre Karimou, il suffit d’un virement bancaire dans les comptes respectifs des enseignants. Ce qui rend plus facile, plus simple et moins stressant le paiement de ces primes. Une autre innovation, les enfants apprennent désormais l’Anglais. La phase experimentale à l’oral a été faite. Les enfants du Cours d’initiation (CI ) sont passés par là. Et, cette expérience concluante est au CE2 et va se généraliser progressivement. Des annales sont en train d’être conçus pour ces apprenants pour qu’ils apprennent à lire et à écrire la langue de Shakespeare. L’on ne doit non plus occulter la formation des enseignants, les journées de l’enseignant, qui se déroulent normalement. Toutes choses sur lesquelles veille le ministre Salimane Karimou qui en rend sans doute compte au patron de l’Executif, le président Talon.

À l’avènement de la pandémie de Covid 19, qui secoue tout le monde entier, l’école béninoise a été sauvée. Grâce au savoir faire du gouvernement, les enfants ont été épargnés d’une année blanche. Dans le département des Enseignements maternel et primaire, un comité de crise avec pour président le ministre Salimane Karimou a été mis en place. Ce comité a été efficace sur le terrain. Il a sensibilisé, affiches à l’appui, les acteurs de l’ école dont les enfants…