Festival des Masques : Talon et les Aïnonvi, une histoire d’amour
Le président de la République, Patrice Talon, s’est rendu le samedi 3 août 2024 au Festival des Masques à Porto-Novo. Cette visite surprise du Chef de l’État béninois témoigne de son attachement à la culture vodun, ainsi que de son amour pour la ville aux trois noms. Dans cette perspective, le Festival international de Porto-Novo a été transformé en Festival des Masques, afin de promouvoir la ville comme une destination touristique majeure.
En participant au Festival des Masques à Porto-Novo, Patrice Talon manifeste une fois de plus son amour pour les Aïnonvi. Ce n’est d’ailleurs pas la première fois que le n°1 des Béninois prend part à ce genre de manifestation. Lors de cette visite, le Chef de l’État s’est dit ébloui après avoir découvert plusieurs sites emblématiques, notamment les places Migan, Lokossa, et Iya Abessan, la première divinité de Porto-Novo. Cet attachement du président à la culture vodun illustre sa volonté de mettre en lumière le patrimoine culturel de notre pays, mais aussi son amour pour la ville de Porto-Novo, et, par extension, pour ses habitants.
Cet amour se traduit par les nombreuses réalisations du Programme d’Action du Gouvernement au profit des Aïnonvi. De l’asphaltage à la rénovation et à la construction de palais et de sites touristiques, en passant par la construction de logements sociaux, du siège de l’Assemblée nationale, et de marchés modernes, le président Patrice Talon a su démontrer sa détermination à faire de Porto-Novo une destination touristique majeure à l’échelle internationale.
Pour témoigner également de son attachement aux filles et fils de la ville capitale, Patrice Talon s’est rendu au nouveau marché Ahouangbo de Porto-Novo où il a échangé avec les vendeuses.
La visite de Patrice Talon au Festival des Masques à Porto-Novo marque ainsi une étape importante dans la promotion du patrimoine culturel béninois et la valorisation des pratiques traditionnelles, renforçant ainsi son lien avec les filles et fils de la ville. On peut affirmer sans aucun risque de se tromper que c’est une histoire d’amour entre ces derniers et le chef de l’Etat.
Anselme ORICHA
